Chronique d'un Condamné...

**Andoras** Mar 18 Mai - 13:03

L'immortel Empereur de l'humanité, celui qui avait rassemblait l'humanité derrière une même bannière, Sa sainte Bannière. Mais il y avait eu l'hérésie, le fils qui rongé par la rage et la jalousie s'était élevé contre le Père.
Depuis il y avait ce règne, un règne fait de sang, un règne baigné par la mélodie du bruit des armes, des cris des mourants, du hurlement des flammes des villes détruites, des mondes détruits, des peuples exterminés.
Je jetais un coup d'oeil sur mes mains, elles semblaient tel des animaux craintifs, agité par quelques spasmes de peur, tapotant nerveusement comme les dents d'un être terrorisé la crosse de mon arme. Etais-je seul? Y avait il d'autre personne sur ce monde en proie aux flammes de la guerre? Je ne savais pas, j'étais seul, terriblement seul dans ce bâtiment. Je fixais toujours ces mains, étaient elle vraiment à moi? Il me semblait que je n'avais plus vraiment d'influence sur elle.
Je fut soudain chassé de mes pensées par un bruissement? Fruit de mon imagination? Danger en approche? Mes mains tel des animaux apeurés bondirent sur l'arme pour s'en saisir, j'épaulais avec une certaine appréhension. Avais-je une chance de survit? Probablement aucune, je le savais, je n'étais qu'un soldat engoncé dans un treillis tellement sale qu'il me semblait dur, un combattant avec un unique chargeur engoncé et entamé de moitié, un pauvre homme frigorifié de peur, au visage meurtrie par les chagrins et les larmes. Un homme qui avait vu tout ses camarades mourir sous ses yeux enfoncé dans son visage par la fatigue et les jours passé sans dormir.
La peur, voilà la seul chose que j'avais mangé depuis plusieurs jours. La vrai peur, celle qui vous fait implorer la pitié, celle qui vous fait recroquevillé la nuit et supplier de ne pas vous réveiller.

Je ne compris jamais la douleur que je ressenti au ventre. Je n'avais même pas vu mon agresseur, je n'avais même pas entendu la détonation, je ne pu que tomber au genou, sentant le dur sol de béton me frapper alors que je chuter. J'eus mal lors du choc, futile pensé que l'on a quand on se meurs. Mais au moins je ne sentais plus le froid, juste le chaud de ce liquide visqueux qui s'écoulait de moi et que je savais être mon sang, je n'avais plus peur, juste le soulagement de savoir que c'était fini.
Mes yeux fixaient le sol poussiéreux, je crois que j'esquissais un sourire alors que je sentais la vie s'écoulait de moi. Petit a petit ma vision se fit de plus en plus floue. Je n'avais plus peur...

**Andoras** Ven 25 Juin - 21:39

[list]La Peur, qui n'a pas peur? Qui n'a jamais connu ce mot? On a tous peur un jours ou l'autre, peur de rater un examen, peur qu'elle dise non, peur qu'elle dise oui, peur de ne pas avoir un travaille. Mais il y a pire que cette peur là, la peur pour sa vie, ou plus exactement sa survie. Maria, pauvre jeune femme, avant la guerre sur florium, elle n'était qu'une aristocrate, aimé de la cours du gouverneur, respecté, convoité, crainte même....Mais les choses ont changé, beaucoup changé.
Pourquoi est elle là, enfermé dans ce bunker, seule, terrorisé, les vêtement en lambeau. Car elle sait qu'ILS arrivent, elle le sait et elle en à peur, une terreur qui en elle l'empêche de parler ne lui arrachant que de rares petits gémissement et des brides de crédo impériale. Elle est dans un coin de l'endroit, il fait sombre, la seul lueur qui éclaire sont visage blafard maigris par les privation et la peur est la lumière des diodes du digi-code de la porte, une pâle lumière maladive verte tinte son visage, elle qui recroqueviller dans un coin a le dos adossé contre le béton depuis plusieurs heures avec dans les narines l'odeur rance et putride de son urine qui a tâché sa robe de soirée maintenant déchiré et couverte de boue depuis des jours.
Elle entends des pas, ses couinements se font plus apeuré alors qu'elle adopte une position fœtale . [en cours...]

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